Les Dires de Zeta: Processus de Vieillissement


Vieillir est un processus naturel que toutes les entités incarnées connaissent, quoique la vitesse et l’effet puissent en être différent. Les organismes complexes ont deux combats à mener. L’un est de grandir assez vite en taille et en complexité pour pouvoir se reproduire, l’autre est dans le même temps de conjurer le processus de vieillissement. Qu’est-ce que le processus de vieillissement ? Toute machine s’use, ses bords s’éliment au point qu’elle ne fonctionne plus comme on l’attend, les connections ne se font plus, les remises à neuf ne se produisent pas quand c’est nécessaire, et à l’arrivée, les fondations s’écroulent sous le poids du temps. La même réalité partout et en tous lieux. La même réalité pour les corps incarnés qui sont intelligents, conscients, et ont une âme éternelle. Mais il y a le pour et le contre, et il existe des différences dans le processus de vieillissement selon les densités et selon les espèces intelligentes dans les autres mondes. Le vieillissement a rapport à d’autres choses.

Dans les densités supérieures, le vieillissement est plus lent, car le corps physique pèse moins que le corps spirituel. Cela pour dire que les défauts du corps physiques sont amendés par le spirituel, qui désire rester dans le corps aussi longtemps que possible. L’esprit intervient et agit tel un pont aux points où le corps physique est faible, et, devrions-nous ajouter, il prend de son temps et de son énergie pour cela. Sur certains mondes, le vieillissement se passe de façon moins drastique, car la forme du corps physique est telle que la simplicité joue d’abord. Prenez la Coccinelle VolksWagen, qui marche toujours parce qu’elle est composée de peu de pièces montées sur un châssis simplifié. Même principe.

Pour ceux qui souhaitent retarder le plus possible le processus de vieillissement, voici le conseil suivant. Donnez autant d’importance à toutes les parties de votre corps, et non pas seulement à celles qui vous demandent de les écouter plus particulièrement. Les reins et le foie font leur travail sans bruit, et n’obtiennent jamais l’attention des artères qui se bouchent ou des poumons qui peinent, car ceux-ci préviennent leur hôte en les faisant souffrir des jambes, de la poitrine, ou en leur coupant le souffle. Pourtant ces organes génèrent une destruction douce, que ne connaissent pas encore vos médecins. Buvez beaucoup d’eau pure, ou prenez des repas liquides, comme les êtres primitifs qui furent vos précurseurs et qui couraient en permanence, suaient beaucoup, et avaient besoin de beaucoup de liquide. Ne surchargez pas vos foies avec des repas trop riches, ce que beaucoup d’entre vous pratiquent tous les jours. Les repas riches étaient chose rare chez les êtres primitifs qui furent vos ancêtres, un festin qu’ils ne faisaient que lorsqu’un gros animal était abattu et qu’ils ne se disputaient pas trop les carcasses. Le foie a besoin de retrouver du souffle, mais le traitement que lui donne fréquemment l’homme civilisé ressemble aux coups de poings répétés qu’interdisent les arbitres des combats de boxes. Temps mort !